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Chez doyen

9 mars 2012

Pédagogie bancaire

étau

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2 mars 2012

Le bonnet phrygien

phrygien 1bisphrygien 2phrygien 3phrygien 4

21 février 2012

4u &4l m4$qué

Anonymous

14 février 2012

Flop actually

saint valentin

6 février 2012

Rêve 11

Anais m'écrit :

Je partage une chambre d'hopital avec une amie qui me confie vouloir se prostituer après ses 40 ans ! Je lui réponds que c'est bien dommage de pas en profiter dès maintenant, tant qu'elle est belle et fraiche ! Ni une ni deux, la voilà au lit avec un homme ET une femme en même temps ! Je préfère m'eclipser et retrouver ma meilleure amie dans la salle de bain où je decoupe une banane en rondelles dans le but de les faire sécher sur les radiateurs. Malheureusement, je me rends compte que les rondelles seront prêtes seulement après une heure de cours (et oui, l'hopital est devenu une ecole, faut pas chercher), du coup, je pose les rondelles sur ma tête. Nos regards se croisent et on explose de rire : c'est vraiment con de se mettre des rondelles de bananes dans les cheveux, ça fait des patés !

Dans ton rêve, l'hopital est le lieu où on baise, où se réalise le désir. Ici, la prostitution est dénuée de toute notion dégradante, elle est vu comme un épanouissement sexuel, c'est "bien dommage de pas en profiter". Bon t'es consciente que y a quelque chose de pas normal (on est dans un hopital quand même)...
La salle de bain est le lieu clos confidentiel par excellence, ce sont les coulisses : cool ton amie s'envoit en l'air, mais que se passe-t-il de ton côté ? Tu découpes une banane, allégorie parfaite d'une queue...transformée en "rondelle", allégorie féminine : on a affaire à un joli désir de castration, mes félicitations. Mais là où, dans cette queue transformée en rondelles, on serait tenté d'y voir une orientation lesbiannique - dont toi seul connait la véracité - on y voit surtout autre chose : du mou transformé en dur. Et oui, tu en as marre des queues molles, tu en veux des durs, des rigides, des croquantes...heuuu. Passons.

Ta tête est chaude : les bananes y chaufferaient plus vite que sur un radiateur. Encore une imagerie de tes désirs bouillonnants. Mais on est maintenant dans une école, habituel lieu du savoir qui est ici celui de la rationalité. Celui du sens du réel retrouvé : ici, tu réalises l'absurdité et retrouves la lucidité, comme si le désir sexuel te poussait à agir étrangement avant de te raisonner. Plus étrange en revanche : ce que tu sembles trouver absurde n'est pas le FAIT de se mettre des rondelles de bananes dans les cheveux - non, ça c'est ok, tant que ça peut faire griller - mais le fait d'avoir pensé que ça allait garder la matière. La tête d'une Anais, ça chauffe pas correctement. En somme, si ça avait pas fait de paté, t'aurais validé ce nouveau moyen de t'faire des toasts. Ton inconscient imprime donc sans retenue le fait que ta tête soit quelque chose de bouillant.

On notera par ailleurs l'échelle de temps : pour ton amie, le désir est assouvi rapidement, pour toi, "les rondelles seront prêtes seulement après une heure". Définitivement, tu voudrais aller plus vite que la musique, griller (!) les étapes, que les queues durcissent aussi vite que monte ta chaleur intérieure.
Anais, quand ta tête est chauffée par le désir, tu n'es plus lucide...en particulier sur le fonctionnement des bananes.

Anais

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28 janvier 2012

Bukaka

Gang bang de caca

22 janvier 2012

Onanisme de passeurs de plats

candidat

17 janvier 2012

Rêve 10

Anna m'écrit :

Je suis dans une chambre sombre et je discute avec mon petit frère assis sur un bord de lit. Je suis sur le point d'aller me coucher, et dans le lit il y a un acteur Hollywoodien très célèbre qui me fait signe de dormir à côté de lui. D'ailleurs, il y a un couple anonyme qui dort dans le lit. Je rejoins l'acteur, nous faisons l'amour, c'est un moment plein de tendresse, il est très attentionné. Une fois terminé, il veut que je parte avec lui en voyage, en pleine nuit. Je mets du temps à ramasser mes affaires éparpillés dans une autre pièce. Ce qui est surprenant, c'est que malgré le fait que je me sente très bien, auprès d'une présence masculine saine, je suis aussi très vide intérieurement et les pièces sont très sombres.
Le passage qui suit, je me retrouve avec ma famille sous terre en train de visiter les racines d'un arbre. Pourtant la scène s'est éclairée, d'une lumière chaude tamisée...je dois ensuite passer au travers d'un trou dans la terre pour rejoindre une autre salle.
Et là, je me retrouve à quatre pattes sur une corniche extrêmement étroite, très haut perchée, sur une falaise extrêmement haute. Cette fois-ci, la scène baigne dans une lumière d'été très forte. Mais alors que ma petite soeur devant a réussi à avancer sur la corniche, je suis retenue par un pied resté coincé dans le trou. Je suis coincée là et ma mère appelle au danger, il y aurait un serpent qui me monterait le long du pied et je ne peux pas bouger.

A chacune des 3 scènes, que ce soit celle de la nuit, de l'intérieur ou des hauteurs, la famille est omniprésente : c'est la première notion clé du rêve...le tout constamment saupoudré de l'imagerie vacance : dans la première séquence, si on additionne toi, la famille, l'amant et un couple anonyme, on est en plein climat "hôtel en vacance". Quel heureux hasard qu'Hollywood ait choisi votre hôtel pour notre star, même s'il s'est manifestement gourré de chambre. Dans la deuxième séquence, cette découverte des racines, c'est la tendre et familiale visite au musée. Un moment agréable...quant à la dernière scène, corniche, falaises et lumière d'été, tout ça fleure bon les vacances estivales.

Mais qu'en est-il de ton état d'esprit ? Tout ton rêve tourne autour de la seconde notion-clé : la proposition. Son énonciation, ce qu'elle te fait quitter et où elle t'emmène.

La première partie présente l'occasion alléchante : l'acteur - ENFIN un mec bien - doublé de l'attrait du voyage. Ca donne envie. Ici, la nuit est l'espace du charnel...oui, mais ton inconscient angoisse que rien ne sera plus pareil.
Et pour cause : la deuxième partie est un rappel de ce que tu perdrais. Ici, l'intérieur est un espace familial réconfortant. Le fait que l'on soit sous-terre n'est pas anodin, c'est le cocon...la lumière est CHAUDE...oui, le foetus n'est pas loin, Anna...tu l'admettras, tout ça contraste fortement avec la scène précédente où tu ramassais tes chaussettes dans l'noir, éparpillées dans une pièce au lugubre poisseux.
Mais bon, quand faut y aller, faut y aller : la troisième partie démontre ce que donne le risque. On est là dans un espace ouvert, à l'inverse du cocon, face à la liberté terrorisante, vincible au vent. Ici, les hauteurs sont l'espace du risque (on peut tomber) et du danger. D'ailleurs, ça loupe pas. Un serpent grignote le reste de ton chausson familial. Ah bah bravo merci, voilà c'que c'est que de céder aux sirènes d'un acteur aux sourcils de Brandon Walsh...

Anna, tu es tiraillée entre les propositions et occasions extérieures et la volonté de rester dans le confort.

Anna

11 janvier 2012

Le vent slave

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3 janvier 2012

L'indécente aux études

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